Les différents intérêts de Google trahissent une stratégie plus large et assurément ambitieuse qui mise tout sur la révolution dite NBIC. Cette révolution devrait voir converger au final quatre domaines : nanotechnologies, bio-ingénierie/génétique, informatique et sciences cognitives (intelligence artificielle). Elle va donc bien au-delà de ce que Toyota et Honda proposent pour l’heure avec leurs robots et autres voitures autonomes qui partagent aujourd’hui de nombreuses technologies communes, évitement d’obstacles et intelligence artificielle en tête.
Le sociologue Jean-Philippe Mousnier, expert en intelligence économique, cerne bien la démarche de Google et l’explique ainsi : «Des technologies différentes, parallèles qui n’avaient aucune raison de se croiser, vont trouver une synergie et vont enclencher un processus mutualisé de création de valeur partagée, c’est ce que nous appelons la congruence». D’après le sociologue, une révolution sociétale se profile à l’horizon et la voiture autonome ne semble en être que la première étape…
Cette débauche annoncée de technologies vous réjouit-elle ou vous fait-elle peur ?
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