Moins de déplacements en voiture pour se rendre au travail signifie évidemment moins de CO2 dans l’air, même si, selon le CE Delft, les différences avec l’ère pré-corona méritent certainement d’être mentionnées.
Concrètement…
Si 12 % des professionnels néerlandais devaient travailler un jour et demi de plus depuis leur domicile, la différence de kilométrage annuel est estimée à 3 milliards. Cela équivaut à environ 75.000 tours du globe. En conséquence, 353.600 tonnes de CO2 en moins seraient émises, tout comme 11 tonnes de particules en moins et 632 tonnes d’azote en moins. En ce qui concerne l’azote, le chiffre est de 5 % du total. En outre, selon le même calcul, 1,7 milliard d’euros seraient économisés, répartis sur les gains de temps, l’augmentation de la productivité et les coûts sociaux. Les éventuelles économies réalisées sur les infrastructures routières n’ont pas été prises en compte.
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