Économie

En 2024, l’ATN à charge des utilisateurs de voitures thermiques essence ou Diesel devait augmenter sensiblement. Mais le ministre des Finances essaie de trouver une solution pour adoucir la note. Période électorale oblige…

Même si elles semblent très lointaines, les attaques de fret maritime des rebelles Houthis en mer Rouge pourraient avoir de graves répercussions sur l’industrie et notamment l’industrie automobile. Tesla et Volvo en font déjà les frais. Avant les autres ?

Une nouvelle enquête permet de connaître l’âge des conducteurs de différents modèles de voitures. Les résultats sont surprenants, surtout en ce qui concerne les conducteurs âgés.

Une enquête de BNP montre que le budget des Belges pour la mobilité a augmenté de +50% en 20 ans. Les ménages consacrent aujourd’hui en moyenne 11% de leur budget à leurs déplacements. Et pour certains, c’est devenu un problème.

Il y a quelques semaines, la marque japonaise Daihatsu a été reconnue coupable de fraude après avoir falsifié les tests de sécurité de 64 modèles depuis 1989 ! Bien que la marque ne soit plus vendue chez nous, plusieurs milliers de véhicules circulant en Belgique sont encore concernés aujourd’hui.

Selon plusieurs sources, Volkswagen aurait décidé de retarder l’arrivée de ses voitures électriques à bas coût, les ID.1 et ID.2. La raison ? La norme Euro 7 qui permettra de vendre plus longtemps des petites voitures thermiques.

Chaque année, les embouteillages font économiquement du tort à la Belgique. Et en 2023, les chiffres se sont malheureusement envolés : plus de 5 milliards d’euros, soit 432 euros par habitant !

Le marché automobile belge s’est très bien porté en 2023 avec une progression des immatriculations de +30%. Mais quels sont les marques et les modèles qui ont été les préférés des Belges ? Les voici !

Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de salon traditionnel à Bruxelles en janvier 2024 que les ventes de voitures vont ralentir. Car les constructeurs mettent tout en œuvre pour proposer des ristournes intéressantes. Et du côté des organismes de crédits, la guerre des taux a débuté.

Depuis plus d’un an, le constructeur chinois souhaite construire une usine d’assemblage en Europe. Une stratégie qui lui permettrait d’œuvrer au cœur du marché européen tout en éludant probablement les futures sanctions qui pourraient toucher les voitures électriques importées. Une décision a finalement été arrêtée.

Le passage à la voiture électrique a été acté en Europe. Et il s’opèrera dès le 1er janvier 2035 de manière obligatoire. Sauf que certains éléments pourraient venir perturber cette transition. En effet, selon une étude de Transport & Environment, les constructeurs européens n’ont absolument pas sécurisé l’approvisionnement en métaux essentiels pour les batteries. Ils pourraient donc manquer. Ou comment l’histoire va peut-être se répéter.

En 2024, aucun automobiliste n’échappera à une nouvelle hausse des prix. En effet, les tarifs des assurances auto devraient à nouveau augmenter. Voici pourquoi.

Après Citroën et l’ë-C3, le groupe Stellantis s’apprête à lancer en 2024 une Fiat électrique à bas coût. Ce sera la petite Panda qui reposera sur la même base que la Française. Une bonne nouvelle ? Pas en Italie où l’arrivée du modèle suscite la colère.

Les prochaines élections à la fois en Europe et aux États-Unis pourraient-elles changer la trajectoire et le déploiement de la voiture électrique sur les marchés occidentaux. Le PDG de Stellantis le pense. Et il explique ce qui pourrait potentiellement arriver.

La démocratisation des voitures électriques passe par plusieurs facteurs dont celui de l’adoption de la nouvelle chimie de batteries LFP (lithium fer phosphate), certes un peu moins dense en énergie, mais moins chère à produire. Une avancée ? En réalité, la chose est très discutable…