Selon une enquête menée par Reuters, l’automobiliste européen payerait sa voiture chinoise jusqu’à trois fois plus cher que le prix exigé en Chine. Une différence colossale qui ne s’explique évidemment pas les droits de douane ou le coût du transport.
Marché Automobile
L’utilisation d’une automobile passe forcément par des coûts d’entretien que les propriétaires espèrent les plus réduits. Une étude américaine dévoile quelles sont les voitures les moins chères à entretenir sur une période de 10 ans.
La nouvelle Mazda EZ-6 a beaucoup d’atouts pour séduire. Outre son style élégant, cette grande berline est dotée d’une motorisation hybride rechargeable ainsi que d’une motorisation électrique. Problème : la marque japonaise hésite encore sur ses ambitions internationales.
Le marché automobile a repris des couleurs en 2024. C’est vrai pour le neuf, mais aussi pour le marché de l’occasion. Cela dit, on décèle toutefois des changements de comportement, les Belges se tournant de plus en plus vers des voitures de seconde main de plus en plus âgées.
Le constructeur américain de voitures électriques, Tesla, vient d’annoncer une nouvelle guerre des prix. La marque va baisser les prix de ses voitures aux États-Unis et en Chine. Mais avec quels objectifs et avec quel bénéfice pour le consommateur ?
Dans un tout nouveau bâtiment ultramoderne situé le long de l’autoroute E19 à Kontich, D’Ieteren Mobility Company propose toutes les activités des principales marques automobiles du groupe Volkswagen sous un même toit. L’intégration maximale des marques, combinée à un atelier ultramoderne et à une carrosserie multimarque, offre aux clients une expérience one-stop-shop dans un bâtiment durable qui est presque climatiquement neutre.
Selon une enquête menée par la société spécialisée en leasing automobile ALD Automotive-LeasePlan, près de 8 conducteurs belges sur 10 de voitures de société s’attendent à une augmentation de la part de marché des marques automobiles chinoises dans les mois et années à venir. Ce qui veut peut-être dire que la prise de conscience est absorbée et que les automobilistes sont prêts à passer aux voitures de l’empire du Milieu.
Au début de la semaine, Stellantis a annoncé que l’Alfa Romeo Milano lancée il y a quelques jours s’appellera finalement « Junior » suite à un problème de légalité en Italie. Cette situation rocambolesque n’est toutefois pas une première : voici les voitures qui ont rencontré le même souci.
Une voiture électrique profite d’une énorme ristourne actuellement : la Fisker Ocean. Une bonne affaire ? Si vous suivez l’actu de Gocar, la réponse est probablement non. Et voici pourquoi.
Les chiffres ne mentent pas : si la Tesla Model Y caracole en tête des ventes de voitures neuves, on constate que 81% du total des ventes a été immatriculé en Flandre. En Wallonie par contre, la marque vendue est Dacia. Une situation qui illustre la réalité économique de la Belgique ?
Avec la nouvelle Milano, Alfa Romeo présente enfin son premier modèle électrique. Stellantis croit en l’avenir d’Alfa Romeo. Bien qu’il y ait eu un candidat à la reprise d’Alfa Romeo, Carlos Tavares, directeur général de Stellantis, a confirmé que la marque ne serait pas vendue. Au contraire, les projets ne manquent pas.
Le conte de fées des voitures électriques prend une tournure sinistre dans l’État américain du New Jersey. Autrefois figure de proue des voitures rechargeables, le gouverneur de cet État s’apprête à instaurer la taxe la plus élevée pour les VE. Bien trop tôt, jugent les propriétaires de voitures électriques, mais le New Jersey n’est pas le seul.
Décidément, Rimac est un tout petit constructeur, mais particulièrement courtisé. Après Porsche qui a pris une participation dans le constructeur, c’est BMW qui passe un partenariat de long terme avec la filiale technologique, Rimac Technology, pour le développement des voitures électriques.
La transition vers la voiture électrique est l’affaire de la Belgique tout entière. Mais la Flandre semble plus avancée, car la région compte cinq fois plus de voitures électriques que la Wallonie. Cet écart peut-il être réduit ?
L’intelligence artificielle est utilisée partout, même dans les logiciels de réparation automobile où elle est censée accélérer le processus. Mais ça n’est pas à l’avantage du réparateur, car l’IA entrainerait une augmentation du coût de la facture, une hausse forcément répercutée sur le client.