Toutes les bonnes chansons ont une fin. Après des années de croissance effrénée, Tesla a livré beaucoup moins de voitures. Le marché est décevant, mais certains disent que c’est aussi le grand patron lui-même qui met des bâtons dans les roues de son entreprise : Musk est néfaste pour l’image.
Marché Automobile
Dès cette mi-avril 2024, la législation change pour les nouvelles bornes de recharge pour voitures électriques. Celles-ci devront désormais afficher le coût au kWh ainsi qu’accepter les paiements par cartes bancaires. Comme dans les stations-service.
Le marché de l’occasion se porte bien en ce début 2024. Il a augmenté de +9% par rapport à 2023. Les ventes de voitures électriques progressent fortement, de même que celles de Volkswagen chez quoi la Golf bat tous les records.
Ce n’est pas une bonne nouvelle pour ceux qui doivent faire réparer leur voiture. Le prix moyen d’une réparation a atteint un niveau record. Les chiffres européens de l’année dernière le montrent et il n’y a pas de changement immédiat en vue.
La Chine continue son ascension dans le secteur automobile. Cette année, une étude montre que l’empire du Milieu devrait fabriquer 25% des voitures électriques vendues sur notre sol. La fin d’une ère ?
Alors que la transition vers la voiture électrique est enclenchée, certains scientifiques restent très sceptiques quant à la disparition des moteurs à combustion. Pour certains, cette source d’alimentation va même encore durer 100 ans.
L’année prochaine, les marques automobiles auront la corde au cou. De nouvelles limites de CO2 devront alors être respectées, ce qui devient difficile à faire en raison des ventes décevantes de modèles électriques. Après Volkswagen, BMW et Renault demandent également un assouplissement à l’Europe, craignant un gouffre financier imminent.
L’assureur-crédit Allianz Trade tire la sonnette d’alarme. Sans intervention de l’Union européenne, notre industrie automobile locale risque de devenir l’ombre d’elle-même. Telle est la conclusion de son étude publiée dans le Global Auto Outlook.
La Commission européenne s’est penchée sur les consommations réelles de nos voitures et elle les pointes du doigt. Certes, la différence entre consommation réelle et théorique est une évidence, mais celle-ci serait particulièrement marquée dans le chef des hybrides rechargeables.
Les voitures électriques continuent d’être trop chères dans leur forme actuelle. Certains industriels prônent dès lors un changement de modèle et l’adoption dans nos contrées des petites kei cars japonaises dans leur version électrique ce qui pourrait ramener à des voitures vendues autour des 10.000 euros. Mais est-ce viable ?
Retournement de situation sur le marché automobile européen : alors que l’électrique est censée s’imposer, ce sont les hybrides rechargeables qui s’imposent dans les ventes selon les dernières données de l’ACEA. Un revirement qui va se poursuivre ?
Lancer une marque de voitures électriques à bas coût ? C’est le dessein du chinois XPeng qui compte proposer ses modèles à partir de 12.500 euros.
Selon un baromètre d’Europ Assistance, la voiture électrique éprouve encore des difficultés à s’imposer dans le cœur et les intentions d’achat des Belges. Même si près de la moitié de nos compatriotes disent que leur prochaine voiture sera électrique, 24% des sondés estiment que cela n’arrivera pas avant 2035.
Le marché de la voiture électrique ralenti et les constructeurs peinent à faire tourner leurs usines. La situation est telle que certains d’entre eux envisagent une petite marche arrière. Comme Fiat dont la 500e pourrait bientôt être déclinée en version hybride. Un aveu d’échec ?
Au lieu de s’entretuer, les constructeurs japonais Nissan et Honda vont collaborer pour développer des voitures électriques. C’est étonnant, non seulement parce qu’ils sont concurrents, mais aussi parce qu’ils sont déjà en train de travailler avec deux autres partenaires.