Extérieurement, les modification apportées au Ranger demeurent très limitées et se limitent, pour l’essentiel, à une nouvelle calandre.
Quant à l’équipement, il s’est enrichi, tandis que le capot abrite un nouveau moteur. De fait, les 2.2 TDCi 160 ch et 3.2 TDCi 200 ch bien connus sont remplacés par un 2.0 diesel à simple ou double turbo qui délivre 130, 170 ou 213 ch. Ce bloc est associé soit à une boîte 6 manuelle, soit à la nouvelle boîte automatique Ford à 10 rapports.
Ford annonce une consommation moyenne réduite de quelque 9%, sans que cela se paie en charge utile (1.252 kilos) ou en capacité de remorquage (qui reste de 3,5 tonnes).
Côté équipement, le Ranger a dorénavant doit à des feux de jour à diodes ainsi qu’à des phares au xénon sur les versions les mieux équipées. Le véhicule intègre par ailleurs, si on le souhaite, un hotspot WiFi, ce qui permet d’en contrôler le statut à distance, une aide au freinage d’urgence avec détection des piétons et un limiteur de vitesse adaptatif qui tient compte des limitations de vitesse en vigueur.
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