L’époque où les voitures n’étaient que des véhicules à quatre roues motorisés est révolue. Aujourd’hui, nous pouvons parler d’ordinateurs sur roues qui enregistrent toutes sortes de choses et qui conservent un certain degré de contrôle afin de rendre les voyages aussi sûrs que possible. Des gadgets tels que l’ESP et le contrôle de la pression des pneus sont devenus monnaie courante depuis un certain temps déjà, et plus la technologie progresse, plus nous pouvons nous attendre à des chiens de garde.
Éthylotest antidémarrage
On estime qu’environ un décès sur cinq sur la route est lié à l’alcool au volant. Un pourcentage exceptionnellement élevé, dont les gens veulent se débarrasser complètement dans les décennies à venir. Si l’on en croit une grande partie des décideurs européens, dans un avenir proche (2024 ?), toutes les voitures seront non seulement équipées de ceintures de sécurité améliorées, d’une caméra de recul, d’une assistance avancée au freinage d’urgence, d’un limiteur de vitesse “intelligent” et d’autres dispositifs similaires, mais aussi d’un éthylomètre.
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Positif ou négatif ?
La question que nous nous sommes déjà posée est de savoir si certains systèmes n’auront pas un effet contraire. Un limiteur de vitesse “intelligent” affaiblirait l’attention du conducteur, selon certains opposants, et les avis sont également partagés sur le pilotage automatique, le maintien dans la voie et la reconnaissance de la fatigue. Toutefois, nous pensons qu’un éthylotest obligatoire pourra compter sur un soutien beaucoup plus important de la population européenne, tout simplement parce que personne ne peut nier que l’alcool et la conduite ne vont pas du tout de pair.
Où fixer la limite ?
L’alcool sur les routes est un gros problème, mais il y a bien sûr aussi des conducteurs qui conduisent sous l’influence de drogues. Alors, où faut-il fixer la limite ? L’Union européenne veut-elle que tous les conducteurs soufflent avant de prendre leur voiture, puis qu’ils subissent un test salivaire pour chaque trajet, aussi court soit-il ? Quoi qu’il en soit, il est question de l’installation obligatoire d’une “boîte noire” dans chaque véhicule (enregistrement des données), qui pourra être consultée après un accident. 1984 ne semble plus aussi fictif.
MISE À JOUR : Pas de limiteur de vitesse finalement ?
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