Ces questions tentent de cerner les comportements et habitudes dans la circulation, les situations de trafic jugées difficiles, la prise de médicaments, le suivi de tests de vue, les infractions commises ou encore le nombre d’accidents.
Ce questionnaire n’est pour l'IBSR et l'IMOB que la première étape à l’évaluation de l'aptitude à la conduite. Les suivantes pourront prendre la forme de tests psychiques, physiques ou encore de conduite. D’après les auteurs de ce questionnaire, cette manière de procéder est plus efficace que le fait d'imposer une évaluation de la conduite obligatoire de tous les seniors en fonction de leur âge. Le questionnaire constitue donc une première étape de sensibilisation dans un système de ce genre.
Aujourd’hui, la mise en ligne de ce questionnaire se justifie aussi par le vieillissement de la population. En effet, en 2030, un quart des conducteurs seront âgés de 65 ans ou plus. Mieux vaut donc prévenir… De plus, une étude de l'IBSR a déjà souligné que le risque d'être impliqué dans un accident mortel augmente à partir de 65 ans. Cette étude affirmait alors que le risque d'accident pour les conducteurs âgés était comparable à celui d'un conducteur débutant, à savoir quatre fois plus élevé que le risque moyen. Gloups…
Etes-vous pour ou contre une évaluation de l’aptitude à la conduite à partir de 65 ans ?
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