De nombreuses villes européennes prévoient d’introduire de nouvelles zones à faibles émissions. Dans d’autres endroits, les règles sont assouplies ou supprimées à nouveau. C’est le cas d’Anvers, qui prévoit des mesures moins strictes pour les usagers les plus faibles à partir de 2024.
Environnement
En 2024, le Toyota HySE-X1 participera au Rallye Dakar dans la catégorie Mission 1000 pour les groupes motopropulseurs alternatifs expérimentaux. Est-ce le début d’un rallye sans émissions ?
La norme Euro 7 fait actuellement couler beaucoup d’encre. Et elle continue de faire l’objet de tractations au plus haut niveau. Dernier rebondissement en date : le Parlement européen voudrait retarder sa mise en application à… 2030 pour protéger les consommateurs à faible revenu.
À côté des zones de basses émissions, d’autres types de zones se développent qui, elles, ne tolèrent plus aucun véhicule thermique. Ce sont les zones « zero emission ». C’est notamment le cas en Suède, à Stockholm où toutes les voitures thermiques seront interdites dans le centre-ville dès 2025. Ce type de restriction arriver-t-il bientôt chez nous aussi ?
Alors que les constructeurs se félicitent de l’assouplissement de la norme Euro 7 décidée par les autorités européennes, d’autres s’en offusquent. Et ce ne sont pas les organisations environnementales, mais bien les villes de Bruxelles, de Paris et de Rome qui viennent de déposer une pétition auprès du Parlement européen. Leur objectif : éviter les décès dus à la pollution atmosphérique.
La prime à l’achat de 5.000 euros pour une voiture électrique en Flandre à partir de 2024 est-elle trop chiche ? C’est ce que pensent certaines spécialistes du secteur, dont Volty, une plate-forme d’achat dédiée à la mobilité électrique.
Depuis des mois, l’Europe tente d’imposer la norme Euro 7 avec des règles nettement plus strictes pour les émissions. Mais les constructeurs n’en veulent pas, car elle ne permettrait pas de réduire significativement la pollution tandis qu’elle pourrait aussi provoquer la mort des petites voitures. Vrai ?
Dans les travaux visant à protéger l’environnement, l’automobile est souvent la première visée et notamment ses moteurs thermiques considérés comme les gros pollueurs. Cela dit, le moteur à combustion n’est pourtant pas la source principale de pollution atmosphérique. En effet, selon une étude menée par Emissions Analytics, les pneus produisent 100 fois plus de particules nocives qu’un moteur thermique moderne.
Le gouvernement néerlandais a décidé de débloquer 125 millions d’euros pour accélérer le déploiement de la voiture à hydrogène. L’objectif est d’arriver à faire circuler plusieurs milliers de ces automobiles sur les routes du pays dans les prochaines années ainsi que de construire une usine de production et d’ouvrir 40 stations-service. Vrai décollage en perspective ?
Le constat dressé par un groupe de chercheurs de l’Université d’Utrecht est alarmant : 98% des Européens respirent un air pollué et vivent dans des zones infestées de particules fines. Il y a urgence.
Sur proposition de l’Espagne, les 27 ministres européens réunis ce lundi à Bruxelles dans le cadre du Conseil compétitivité ont suivi les injonctions des constructeurs automobiles et ils ont décidé d’édulcorer les règles d’émissions prévues dans la norme Euro 7. Avec quelles conséquences ?
Honda souhaite encourager financièrement ses clients à adopter une conduite plus économique afin d’émettre moins de CO2. Ceux qui consomment moins peuvent ainsi gagner des crédits « carbone ». Une juste politique ?
L’Europe de l’automobile n’a jamais été aussi divisée : alors que le vieux continent fonce vers la voiture électrique à l’échéance de 2035, huit pays (et non des moindres) s’insurgent contre la mise en place de la norme Euro 7 jugée inefficace, voire inutile. Au point de se demander aujourd’hui si elle verra le jour ou non…
Les conditions de circulation dans les zones de basses émissions seront de plus en plus restrictives. À Bruxelles, les véhicules Euro 6 (exception faite des Euro 6d) seront ainsi interdits dès 2028, ce qui semble peut-être un peu exagéré. Explications.
En Autriche, le ministre du climat a imaginé une action originale pour promouvoir les transports publics. Quiconque se fait tatouer le texte « Klimaticket » sur le corps peut voyager gratuitement pendant un an. Prêt à souffrir ?