Cela fait six ans que Cupra s'est séparé de Seat et que le badge ludique s'est transformé en indépendance - alors dirigée par l'actuel patron de Renault, Luca de Meo. Aujourd'hui, elle menace même d'avaler la marque mère Seat. Le fait que le stand de cette dernière soit deux fois plus petit illustre le succès de son alter ego plus épicé, qui mise beaucoup sur les hybrides rechargeables en plus des moteurs électriques. Cela se passe bien, avec de plus en plus de modèles propres au lieu de Seat tunées, des débuts au Zoute Grand Prix et même des ambitions de lancement en Amérique.
Nouveau système hybride rechargeable
Au Salon de l'Auto de Bruxelles, la plus ancienne Cupra a toujours une Seat, la Leon, exposée en tant que Sportstourer. Le modèle a été lifté en même temps que le crossover Formentor, également exposé, et tous deux sont équipés de la dernière version du système hybride rechargeable, basé sur le 1.5 eTSI, avec une autonomie électrique pouvant atteindre 100 kilomètres. La toute nouvelle Terramar, la plus grande Cupra de l'écurie pour l'instant, est également disponible uniquement en version hybride (douce ou rechargeable).
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Avec sa technologie d'entraînement électrifiée et l'accent mis sur l'expérience de conduite, la Cupra ne se contente pas de s'adresser à un public de niche, mais vise également les clients professionnels - d'où les versions Business. Ce groupe cible trouve certainement son compte dans le coin tout électrique où l'on trouve la Born, sœur de la Volkswagen ID.3, et le Tavascan, qui partage son patrimoine génétique avec le Volkswagen ID.5. Le fait que cette dernière soit également présente en tant que VZ n'est en rien une coïncidence. Il s'agit en effet de l'abréviation de VeloZ, qui signifie « rapide » en espagnol.
Vous trouverez Cupra avec les autres marques Volkswagen de l'importateur D'Ieteren, dans le hall 11.
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