Innovation
Manifestement, les travaux pour pouvoir recharger sa batterie en roulant avancent. Dans le nord de l’Italie, le groupe Stellantis reste effectivement cette technologie de recharge par induction. De quoi définitivement desserrer les freins à la transition vers la voiture électrique ?
La semaine dernière, plusieurs centaines de conducteurs de Tesla n’ont pas pu accéder à leur voiture ou la démarrer en raison d’un bug dans l’application de contrôle de la marque. Une situation ubuesque, mais qui pose clairement question sur la fiabilité de la voiture connectée et la notion même de propriété de laquelle les intéressés sont dépossédés.
Récemment, Michelin a présenté son pneu Uptis, un pneu sans air qui arrivera dès 2024, mais qui sera réservé aux pays émergents, là où on crève beaucoup. Apparemment, Goodyear s’est aussi lancé dans l’aventure. Mais avec un tout autre objectif : les voitures électriques et autonomes.
L’université de Purdue, aux États-Unis, a réussi à accélérer le processus de charge d’une voiture électrique en utilisant un système de refroidissement plus efficace pour le câble de charge. Le test mené montre même que le ravitaillement en électricité ne prendrait pas plus de temps qu’avec une voiture fonctionnant à l’essence ou au Diesel.
La technologie de surveillance de la conduite sera probablement encore améliorée d’ici peu. Ford mène en effet des travaux sur l’activité cérébrale des conducteurs. En la mettant sous surveillance, on pourrait prévenir nombre d’accidents. Réaliste ou nouvelle tentative d’incursion pour contrôler nos esprits ?