Dans les hautes sphères européennes, les tractations vont bon train pour évaluer la possibilité d’autoriser les carburants synthétiques pour alimenter les nouvelles voitures thermiques qui pourraient – très hypothétiquement – être vendues après 2035. Cela dit, le développement et la production des e-fuels auront un coût sociétal que certains jugent trop élevé alors que d’autres voient cette solution comme salvatrice. On fait le point.
Énergie
Les prix des produits pétroliers continuent de baisser. Une bonne nouvelle pour les automobilistes ? Apparemment oui, si la tendance à la baisse se poursuit…
Le fournisseur Engie est le premier sur le marché à proposer un contrat d’électricité spécialement imaginé pour les possesseurs de voitures électriques. Avec quels avantages ?
Pour les voitures à essence, majoritaire dans notre parc automobile, la distinction entre les indices d’octane 95 et 98 n’est pas toujours claire pour les automobilistes. Quand faut-il choisir pour l’une ou l’autre solution ?
L’embargo russe sur le pétrole ne semble pas être une mesure efficace, car le carburant extrait du plus grand pays du monde continue d’affluer sur le marché européen par des voies détournées. L’Union européenne entend donc prendre des mesures supplémentaires de blocage de ces importantes, ce qui pourrait entraîner de nouvelles hausses de prix à la pompe. Mais est-ce le souhait des automobilistes ?
Selon la Fédération pétrolière belge, Energia, la consommation de carburant a baissé en 2022 en Belgique. Une surprise ? Pas vraiment, car la crise est passée par là…
Théoriquement, les voitures à moteur à combustion vont progressivement disparaître après 2035. Mais que deviendront ces modèles essence et Diesel. Partiront-ils simplement à la casse ? Pas si sûr…
Surprise : l’Arabie Saoudite a décidé de réduire de manière importante sa production pétrolière quotidienne. Et elle n’est pas la seule, car d’autres pays producteurs vont suivre. Les marchés ont déjà réagi à cette annonce avec une hausse des cours. Et ce n’est qu’un début…
En France et dans d’autres pays européens, rouler au bioéthanol – un carburant issu de la transformation de matière agricole – est monnaie courante, car cette solution est à la fois plus écologique, mais aussi plus économique pour les automobilistes. En Belgique par contre, c’est interdit. Et ça le restera. Voici pourquoi.
Vladimir Poutine continue à financer sa machine de guerre grâce à l’argent gagné sur la vente des hydrocarbures. L’embargo occidental ne serait donc que de la poudre aux yeux, car le pétrole russe parvient à se frayer un chemin pour couler à flot dans nos stations-service.
En principe, l’Europe devrait autoriser l’utilisation de carburants de synthèse dans les automobiles thermiques neuves qui seront vendues après le 1er janvier 2035. Pour faire accepter cet aménagement, l’Allemagne s’est battue envers et contre tout. Et avec intelligence ? Car finalement, n’est pas le rendement énergétique qui doit primer dans les choix ? Quelle est dès lors l’efficacité des e-fuels. Tentative de réponse…
Green NCAP vient de publier un rapport dont les chiffres sont étonnants…
Coup de théâtre dans le secteur de l’énergie : TotalÉnergies va revendre toutes ses stations-service en Belgique. La question de l’emploi est sur la table. Pas moins de 1.000 personnes sont concernées.
Alors qu’en 2021 c’était encore un argument massue en faveur de la voiture électrique, le coût de la recharge a explosé en 2022. La crise énergétique a en effet fait augmenter le coût de ce « plein » de 60% rapporte une étude européenne. La Belgique est particulièrement mal placée dans le classement.
On parle de plus en plus des carburants synthétiques pour remplacer le pétrole. Cette solution serait viable et écologique. De plus en plus d’études et de simulateurs montrent en effet que rouler avec des carburants synthétiques serait meilleur pour l’environnement que rouler avec une voiture électrique.