La Flandre a prévu d’introduire une taxe sur les voitures électriques. Mais pour l’instant, celle-ci se fait attendre en raison des négociations et de l'absence d'accord avec les autres régions. Est-ce le moment de se précipiter sur une voiture électrique ? Ou, au contraire, faut-il l’éviter une acquisition ?
Taxes
Si vous conduisez une voiture de société électrique, votre employeur vous remboursera généralement les frais de recharge à domicile. Malheureusement, le calcul de ces frais est ridiculement compliqué pour les employeurs. Le fisc a enfin trouvé une solution, même si elle n'est que temporaire.
Les possesseurs de voitures de société thermiques vont-ils passer à la caisse en 2025 ? C’est plus que probable avec un taux d’imposition qui pourrait être supérieur de 40% par rapport à il y a 5 ans. Explications.
L’ONSS vient de se faire tirer les oreilles par la Cour des comptes. Selon l’organisme de contrôle, il apparaît que la moitié des voitures de société en circulation échapperaient à la taxation. Le non perçu atteindrait les 22 millions d’euros. Qui est à blâmer ?
On a récemment entendu parler d’une étude commandée par la ministre sortante de la Mobilité bruxelloise, Elke Van Den Brandt. Mais ce qui n’était pas dit, c’est celle pourrait servir de base pour éliminer les SUV dans notre capitale. C’est ce qui est inscrit dans la supernote qui sert de base aux négociations du prochain gouvernement.
En Belgique, les voitures sont de plus en plus encombrantes et lourdes. C’est ce que révèle une nouvelle enquête menée à Bruxelles et qui pointe cette réalité et qui pourrait évidemment servir de base à un nouveau projet de taxation.
Lors des Fleet EV Experience Days 2024, le grand public est appelé découvrir les dernières voitures électriques. Mais quels sont les avantages fiscaux dont on peut bénéficier avec ces véhicules ? Comment peut-on demander (et recevoir) la prime à l’achat en Flandre ? Et quels sont les mécanismes fiscaux imaginés par l’administration du ministre Van Peteghem pour les voitures de société ? Voici tout ce qu’il faut savoir.
Dès 2027, les automobilistes européens verront le coût de leur plein de carburant grimper en raison d’une nouvelle tarification carbone imposée par l’Union européenne. Ce système de quotas, baptisé ETS-2, vise à décourager l’usage des véhicules thermiques en frappant au portefeuille.
L’Union européenne de donc finalement décidé d’instaurer de nouvelles taxes sur les voitures électriques chinoises importées. Une mesure qui vise à protéger les industriels du vieux continent, mais qui risque de ne servir à rien, car les constructeurs chinois sont déjà occupés à les contourner.
La Flandre et la Wallonie envisagent de mettre rapidement en place une vignette routière pour les conducteurs étrangers, afin de générer des recettes supplémentaires pour les régions. Toutefois, des obstacles juridiques en lien avec le droit européen risquent de compliquer cette initiative. Cela rend la concertation entre les régions – et donc aussi avec Bruxelles – essentielle.
Longtemps opposé à l’idée d’une vignette routière, le gouvernement flamand vient d’annoncer qu’il s’alignait sur le projet déjà proposé par la Wallonie. La ministre de la Mobilité, Annick De Ridder (N-VA), souhaite accélérer sa mise en œuvre, dans l’objectif de générer des revenus substantiels pour la Région.
Troisième plus grande ville des Pays-Bas, La Haye emboîte le pas à Paris et travaille à l’instauration d’une taxe de stationnement plus élevée pour les SUV. Face à l’augmentation des modèles de voiture imposants dans les rues, les autorités locales cherchent des solutions pour limiter leur présence. Il faudra probablement compter avec une généralisation de ces pratiques dans les années qui viennent.
Le nouveau gouvernement flamand veut poursuivre une politique économique stricte et les conducteurs électriques le ressentiront. Il est possible que la conduite électrique soit davantage taxée et que les primes à l’achat d’un véhicule électrique disparaissent. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ?
Le projet de vignette automobile en Wallonie, qui vise à imposer une taxe sur tous les conducteurs utilisant les autoroutes wallonnes, ne sera pas mis en place avant 2026. Si cette mesure est perçue comme une solution pour combler un manque de revenus régionaux, mais elle divise alors que la Flandre et Bruxelles soutiennent une autre approche…
La fiscalité automobile en Belgique est dépassée et obsolète. C’est l’avis de deux professeurs d’université qui ont publié une analyse détaillée dans une revue spécialisée. Mais qu’est-ce qui doit changer exactement ?